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Salariés : moral en berne, l’écoute fait défaut
Salariés : moral en berne, l’écoute fait défaut9 juin 2025Après trois mois consécutifs de hausse, l’indice du moral des salariés de l’UNSA recule nettement, passant de 5,9 à 5,6 sur 10 en ce mois de juin.Tous les items composant l’indice sont en baisse, à l’exception de la conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle, qui reste stable à 6/10. Une majorité de salariés se sentent ignorésSur les questions liées à la qualité de vie et aux conditions de travail, 54% des salariés déclarent ne pas avoir le sentiment d’être écoutés par leur entreprise ou leur organisation. Un chiffre préoccupant, d’autant que 18% des répondants vont plus loin en affirmant ne pas être écoutés du tout. Des conditions de travail jugées satisfaisantesMalgré ce sentiment de ne pas être écouté, 59% des salariés jugent les conditions de travail et la qualité de vie dans leur entreprise satisfaisantes. Seuls 10% les trouvent très insatisfaisantes. Les collègues, premiers confidents des salariés sur les conditions de travailPour évoquer leurs conditions de travail, les salariés se tournent d’abord vers leurs collègues (41%), loin devant la famille (17%), la hiérarchie (15%), les syndicats (10%) ou les amis (8%).À noter : 9% des répondants n’en parlent à personne. Loading PDF 75% … barome_tre_juin_unsa_cluster17Télécharger [...] Lire la suite…
Retraites : l’Assemblée nationale s’est enfin exprimée
Retraites : l’Assemblée nationale s’est enfin exprimée7 juin 2025Jeudi 5 juin, les députés ont adopté une résolution demandant l’abrogation de la réforme des retraites. Si ce vote demeure symbolique, il exprime une réalité politique indéniable : le rejet profond de cette réforme tant par la population que par une part significative de ses représentants élus. Ce signal intervient alors que des concertations sont actuellement en cours notamment sur :• les conditions de travail,• les fins de carrière,• l’équilibre financier du système,• les perspectives d’évolution de notre modèle de retraite solidaire. L’UNSA réaffirme ses engagements Dans ce contexte, l’UNSA entend jouer pleinement son rôle en défendant les intérêts des salariés dans toutes les discussions, notamment lors des rencontres hebdomadaires avec Jean-Jacques Marette, animateur de la délégation permanente sur les retraites. L’UNSA revendique un système de retraite juste, solidaire et pérenne incluant : • un retour sur le relèvement de l’âge légal de départ,• une prise en compte accrue de la pénibilité des métiers exposés,• des mesures concrètes pour corriger les inégalités persistantes, en particulier celles touchant les femmes, les carrières hachées et les travailleurs précaires. Un système de retraite plus équitable, soutenable et démocratique Pour garantir l’équilibre du système de retraite, l’UNSA propose des mesures concrètes qui allient justice sociale et pérennité financière : • réviser les exonérations de cotisations sociales patronales, afin qu’elles ne fragilisent pas le financement de la protection sociale,• instaurer une CSG plus progressive, prenant en compte les capacités contributives réelles des citoyens,• augmentation des cotisations sociales, pour un effort partagé et équitable. Mais l’équilibre financier ne suffit pas, il faut aussi un pilotage transparent et démocratique. L’UNSA défend une gouvernance fondée sur : • une vision globale et cohérente, intégrant à la fois les agents publics et les salariés du secteur privé,• un pilotage partagé entre les partenaires sociaux et l’État, garants de l’intérêt général. L’UNSA reste pleinement engagée dans la défense d’un modèle de retraite solidaire, juste et durable. Crédits photo : gpointstudio, sur Freepik [...] Lire la suite…
European Green Week – L’UNSA s’engage pour un avenir durable
European Green Week – L’UNSA s’engage pour un avenir durable5 juin 2025Organisée du 3 au 11 juin, la Semaine verte européenne a pour thème « Pour un monde à zéro émission nette ». À cette occasion, l’UNSA, ses fédérations, ses syndicats réaffirment leur engagement en faveur de la transformation écologique, de la justice climatique et de la protection de l’environnement et de la biodiversité. Parce que les enjeux climatiques concernent l’ensemble du monde du travail, nous portons la voix des travailleurs pour construire un modèle plus juste, plus sobre et plus durable. Promouvoir des mobilités douces et des pratiques écoresponsables ; Accompagner la transformation des métiers et des compétences ; Défendre une transformation écologique qui ne laisse personne de côté : telle est notre priorité. Car agir pour le climat, c’est aussi défendre l’emploi, la santé, et la dignité des générations futures. L’UNSA s’engage, chaque jour, pour un syndicalisme du XXIᵉ siècle, acteur des grandes transformations respectueuses et protectrices de l’humain et du vivant. [...] Lire la suite…
Déficit de la Sécurité sociale : agir sur les recettes, oui, mais certainement pas via une TVA sociale !
Déficit de la Sécurité sociale : agir sur les recettes, oui, mais certainement pas via une TVA sociale !5 juin 2025Ce mardi 3 juin, la Commission des comptes de la Sécurité sociale a dévoilé son rapport. Elle confirme que le déficit pour l’année 2024 sera moins élevé que prévu, atteignant -15,3 milliards d’euros (soit 0,5 point de PIB), grâce à une amélioration des recettes en fin d’année. Cependant, la situation reste préoccupante : le déficit attendu pour 2025 s’établit à 22 milliards d’euros, en phase avec les prévisions de la loi de financement de la Sécurité sociale (LFSS). Si ce déficit est conséquent, il reste bien plus maîtrisé que celui de l’État, dont le déficit public dépasse 5 % du PIB. Malgré les pressions structurelles qu’elle subit, la Sécurité sociale conserve une trajectoire budgétaire plus soutenable et mieux encadrée que celle des finances publiques de l’État. Pour l’UNSA, ces chiffres ne sont pas surprenants. Malgré un ralentissement de l’inflation, les dépenses sociales continuent de croître plus rapidement que les recettes en raison de facteurs structurels :• Le vieillissement de la population• La hausse des maladies chroniques• Une progression ralentie de la masse salariale• Un affaiblissement de la croissance du PIB. Investir mieux pour mieux protéger L’UNSA rejette l’idée selon laquelle réduire les dépenses sociales implique de diminuer les droits. L’enjeu n’est pas de couper, mais d’investir plus efficacement pour garantir une meilleure protection sociale. Pour mieux protéger, l’UNSA propose de :• Renforcer la prévention en coordonnant les actions entre Assurance maladie, ministère de la Santé, les complémentaires santé et en désignant un chef de file national de la prévention pour piloter cette stratégie.• Interdire les dépassements d’honoraires pour les actes de prévention (coloscopies, mammographies…) pour en finir avec l’accès aux soins conditionné à des moyens financiers.• Lutter contre les déserts médicaux en adoptant une régulation équitable de l’installation des professionnels de santé. Nous soutenons la proposition de loi Garot et demandons son adoption rapide.• Favoriser le maintien à domicile avec une vraie politique du “bien vieillir”, des logements adaptés et des aides.• Étendre les allocations familiales dès le premier enfant pour mieux soutenir toutes les familles.• Renforcer le soutien aux aidants, véritable pilier de la solidarité. Pour améliorer les recettes, l’UNSA dit NON à la TVA sociale, mais OUI à une fiscalité juste L’UNSA refuse catégoriquement la mise en place d’une TVA sociale, un impôt injuste et peu redistributif. Affirmer qu’une hausse de la TVA serait compensée par une augmentation des salaires via une baisse des cotisations patronales relève d’une illusion dangereuse. De plus, confier la gestion des recettes de la Sécurité sociale à l’État par le biais de la TVA sociale reviendrait à transformer en profondeur notre modèle social, au risque de fragiliser la protection des citoyens. Pour l’UNSA, ce choix, lourd de conséquences, ouvrirait la porte à une centralisation des décisions financières, laissant à l’État seul le pouvoir de répartir les ressources dédiées à la Sécurité sociale. Une telle évolution pourrait compromettre l’équilibre de notre pacte social sur le long terme — un risque politique réel à ne pas sous-estimer. Parallèlement à cela, les allègements de cotisations coûtent près de 80 milliards d’euros par an et ils n’ont permis ni de revaloriser les salaires, ni de faire reculer la précarité, ni de réindustrialiser massivement le pays. L’UNSA propose des alternatives plus justes et efficaces : • Faire évoluer la CSG pour la rendre plus progressive et équitable• Repenser la fiscalité sur les successions afin de renforcer la solidarité intergénérationnelle.• Conditionner les exonérations de cotisations sociales à des engagements sociaux, environnementaux et liés à la qualité de l’emploi. Pour l’UNSA il faut une gouvernance rénovée pour préserver notre modèle de solidarité Alors que la Sécurité sociale fête ses 80 ans, elle demeure la pierre angulaire de notre pacte républicain. Loin d’être dépassée, elle doit être adaptée sans être dénaturée. Pour garantir sa pérennité, l’UNSA plaide pour une réforme de sa gouvernance en instaurant un pilotage pluriannuel réunissant : • L’État, garant de l’intérêt général ;• Les partenaires sociaux, représentants du monde du travail. Ce modèle permettrait d’anticiper collectivement les évolutions et de bâtir un cadre d’ajustement transparent et équilibré à moyen terme afin de moderniser un système fondé sur le travail, la solidarité, l’universalité et la justice. Crédits photo : rawpixel.com [...] Lire la suite…
100% santé, dérive consumériste et pratiques frauduleuses
100% santé, dérive consumériste et pratiques frauduleuses4 juin 2025Le 100% santé, mis en place entre 2019 et 2021, a facilité l’accès aux prothèses auditives, aux prothèses dentaires et à l’optique. C’est une bonne chose ! Mais cette facilité a entraîné certaines dérives consuméristes, voire des pratiques frauduleuses, dont la conséquence est l’augmentation des charges des organismes complémentaires de l’assurance maladie, charges qui sont répercutées sur les usagers par l’augmentation des cotisations des mutuelles, ou des primes d’assurance… Des postures consuméristesLe renouvellement des lunettes peut être pris en charge tous les deux ans. Pour les prothèses auditives les délais de renouvellement sont de quatre ans.La tentation est forte pour les usagers, souvent encouragés dans cette voie par les opticiens de changer de lunettes tous les deux ans, plus pour répondre à des critères d’esthétique ou de mode, que pour des raisons motivées par une altération de la vue.Les complémentaires ont leur part de responsabilité dans ces renouvellement trop fréquents, puisqu’elles en font un argument publicitaire pour séduire les usagers.Au bout du compte, ce sont les usagers dans leur ensemble, et particulièrement les retraités, dont les primes et cotisations sont plus élevées, qui font les frais de ces dérives consuméristes. Autre dérive : la fraudeDominique Libault, président du Haut Conseil du financement de la Protection Sociale (HCFiPS) dénonce les risques de fraude. « Il y a un fort enjeu économique, notamment sur les audioprothèses, car ce sont des sommes importantes » alerte-t-il.Indice révélateur, depuis la mise en place du 100% santé, 1500 sociétés d’audioprothésistes ont été créées.La Sécurité sociale a détecté de multiples fraudes liées à ce fort développement de l’activité : exercice illégal de la profession d’audioprothésiste, facturation ne correspondant pas au matériel livré, absence du suivi des patients appareillés… Le HCFiPS a estimé la fraude au détriment de l’assurance maladie à 1,7 milliard d’euros en 2023. Les dispositifs médicaux résultant de la mise en œuvre du 100% santé, prothèses dentaires, lunettes et audioprothèses représenteraient un montant total de fraude estimé à 50 millions d’euros. Si l’on veut contrôler au mieux les dépenses de santé, il conviendrait de limiter la fréquence du renouvellement des dispositifs médicaux et d’améliorer les coordinations entre l’assurance maladie et les complémentaires pour enrayer les pratiques frauduleuses, lesquelles sont préjudiciables au budget des assurés et finalement à la santé publique… [...] Lire la suite…
Face à la crise à Mayotte, le Gouvernement doit agir sans délai
Face à la crise à Mayotte, le Gouvernement doit agir sans délai3 juin 2025Dans une lettre ouverte publiée le 2 juin, l’UNSA avec la CFDT, la CGT, la CFE-CGC, la FSU et Solidaires alertent le Gouvernement sur la situation à Mayotte et demandent au plus vite l’ouverture de concertations. Pour accéder à la lettre : 2025.061_evalls_cvautrin_lettre-ouverte-intersyndicale-mayotteTélécharger [...] Lire la suite…
Communiqué de presse
Communiqué de presse3 juin 2025Bagnolet, le 3 juin 2025 Motion de rejet préalable de la loi agricole et suppression des ZFE : l’UNSA dénonce des reculs écologiques inacceptables L’UNSA dénonce l’adoption de la motion de rejet préalable visant la Loi agricole dite “Duplomb”. Cette manœuvre parlementaire empêche en réalité tout débat sur un texte fondamental, au moment où le monde agricole a besoin de réponses concrètes et une vision de long terme. À titre d’exemple, la réintroduction de l’acétamipride, un pesticide dangereux pour les pollinisateurs, la biodiversité et la santé humaine serait un retour en arrière grave qui contredirait les engagements environnementaux de la France et les attentes de nos concitoyens. Dans le même temps, la suppression des Zones à Faibles Émissions (ZFE) par une alliance de circonstances à l’Assemblée Nationale constitue un recul grave en matière de santé publique. Issues de la Loi d’Orientation sur les Mobilités, les ZFE visent à lutter contre la pollution de l’air, responsable de dizaines de milliers de décès prématurés chaque année. L’air est un bien commun, et l’abandon de ces dispositifs sacrifie l’intérêt général à court terme. À ce titre, l’UNSA a toujours défendu une transformation écologique socialement juste. Elle a toujours rappelé l’importance d’un accompagnement spécifique pour les travailleurs impactés par la mise en place des ZFE, en particulier pour ceux les plus modestes, les plus précaires. Supprimer purement et simplement les ZFE c’est in fine refuser d’aborder la transformation écologique sous l’exigence de la justice sociale. Enfin, l’UNSA réaffirme son attachement aux agences et institutions publiques de référence telles que l’ADEME, l’OFB (Office Français de la Biodiversité) et l’ANSES. Ils jouent un rôle clé dans la lutte contre le dérèglement climatique, la protection du vivant et la santé des populations. Affaiblir leur action ou ignorer leurs recommandations, c’est tourner le dos à la science, à l’intérêt général et à l’avenir. Face aux crises climatique, écologique et sociale, l’heure n’est ni au renoncement ni aux reculs, mais à la responsabilité, à la cohérence et à l’action. Laurent ESCURE, Secrétaire général de l’UNSA Contact presse : Guillaume TRICHARD, Secrétaire général adjoint [...] Lire la suite…
Urgences médicales : l’hôpital public en première ligne
Urgences médicales : l’hôpital public en première ligne31 mai 2025La crise des services d’urgence médicale est une réalité cruelle, même si les Autorités Régionales de Santé tendent à présenter des statistiques rassurantes pour afficher une couverture satisfaisante du territoire en termes de médecine d’urgence et de soins non programmés.La réalité atteste de sérieuses difficultés : Les week-ends et jours fériés, 85% des gardes de nuit sont assurées par le Service public. Les directeurs généraux des Centres Hospitaliers Universitaires et des Centres hospitaliers attirent l’attention sur la crise des urgences. Des propositions pour répondre à la crise des urgencesFace à la situation de crise, les responsables des Centres Hospitaliers Universitaires et des Centres hospitaliers demandent que l’effort soit partagé avec tous les établissements de santé et avec la médecine de ville (mais on sait combien les médecins généralistes sont réticents à s’engager dans un service de garde de nuit). Ils revendiquent une « transparence sur la disponibilité des lits dans tous les établissements de santé et une adaptation aux besoins actuels de santé de la population ».Ils souhaitent une meilleure implication des infirmiers en pratique avancée (IPA), alors qu’actuellement, seuls 1% de ces professionnels sont mobilisés dans les services d’urgences…Ils considèrent qu’il faudrait renforcer les services de soins à domicile, pour mieux accompagner les patients sortant des services de soins non programmés afin de « faciliter le maintien ou le retour à domicile ».Enfin, ils estiment nécessaire une régulation des accueils en service d’urgence. Il faudrait que les patients soient adressés par un médecin ou formulent une demande d’admission par appel au 15 et au Service d’accès aux soins, dont il faudrait obtenir la généralisation.Toutefois, l’Hôpital Public reste ce service ouvert 24 h sur 24, et dont la vocation est de soigner tout le monde. Pour les directeurs d’hôpitaux, les « populations vulnérables » devront être accueillies directement. Pour les directeurs d’hôpitaux comme pour les urgentistes, l’une des réponses à la crise passe par une meilleure implication de la médecine de ville et des établissements privés pour une réponse coordonnée à la demande de soins d’urgence et non programmés. L’avis de l’UNSA RetraitésPour l’UNSA Retraités, le Service Public Hospitalier ne peut assumer seul le choc des accueils aux urgences en période tendue, notamment les week-ends et en période de nuit profonde. La contribution à l’effort des établissements privés et de la médecine de ville, par l’obligation d’assurer des services de garde et des permanences de soin ambulatoire, devrait être mobilisée par les autorités de tutelle.Les médecins libéraux, dont la formation a été financée par l’État, doivent sortir de leur corporatisme étroit et s’impliquer davantage dans la gestion des soins d’urgence. Les praticiens des générations antérieures acceptaient de s’impliquer dans ce volet de la médecine, les médecins actuels feraient bien de s’interroger sur leurs pratiques, au risque de se mettre à dos la majorité de l’opinion. [...] Lire la suite…
Abattement de 10%, nous pouvons gagner!
Abattement de 10%, nous pouvons gagner!28 mai 2025De nombreuses personnalités ont appelé à la suppression de l’abattement fiscal de 10% sur les pensions et retraites, pour faire participer les seniors au renflouement des caisses de l’État. Mais le travail d’information et de communication de l’UNSA Retraités porte ses fruits.Nous avons désormais bon espoir que cette mesure profondément injuste soit abandonnée. Nos arguments ont été repris dans les médias : La plupart des articles font désormais clairement la différence entre l’abattement fiscal dont bénéficient les retraités et la déduction forfaitaire de 10% sur les salaires pour frais professionnels dont bénéficient les actifs. La suppression de l’abattement de 10% rendrait plus de 500 000 retraités imposables, les privant de droits liés à la non-imposition. En augmentant mécaniquement le revenu fiscal de référence, elle modifierait le taux de CSG applicable à certains retraités, réduisant de ce fait le niveau de leur pension. Cette mesure constituerait un impôt supplémentaire pour les 8,4 millions de retraités, retraités disposant d’une pension supérieure à 1540 € et tous ne sont pas des riches, loin de là ! Notre pétition est un succès.Nous approchons les 7000 signatures. Vous pouvez donner plus d’ampleur à notre pétition contre la suppression de l’abattement fiscal des pensions et retraites, cet impôt supplémentaire qui ne dit pas son nom et qui est uniquement ciblé sur les retraités.Parlez-en autour de vous et faites signer la pétition contre la suppression de l’abattement fiscal de 10% Ensemble, nous sommes plus forts et nous allons gagner ! [...] Lire la suite…
Communiqué intersyndical
Communiqué intersyndical23 mai 2025Dans un communiqué intersyndical, l’UNSA avec la CFDT, CGT, et FO adresse une carton rouge à Emmanuel Macron, qui lors du sommet Choose France, s’est prononcé pour la suppression de la directive européenne sur le devoir de vigilance. cp_cfdt_cgt_fo_unsa_-_non_a_la_de_re_glementation_carton_rouge_au_pre_sident_de_la_re_publique_-_20_mai_2025Télécharger [...] Lire la suite…